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(ne me quitte pas)
Prompt : Never thought I'd rather die, than try to keep her by my side(Je n'aurai jamais pensé que je préférerais mourir plutôt que d'essayer de la/le garder à mes cotés) [Love Burns par Black Rebel Motorcycle Club] de
tipitina pour
marathon_prompt spécial citations
Couple/personnages : Bruce/Dick
Résumé : Bruce attends que Dick parte, comme toujours.
Censure : M/R
Date : samedi 21 août 2010
Disclaimer : Je ne claim rien sauf le droit de nier le canon !
Avertissement : corrigé en dormant à moitié >O<
Lorsque Bruce rentre, Dick est couché, tourné vers la fenêtre aux rideaux fermés. Bruce se déshabille en silence. Il s’assoit sur le rebord du matelas. Dans la quasi-obscurité, il ne voit qu’une silhouette obscure mais il n’a pas besoin de lumière. Il connaît par cœur le dessin de son corps, les traits de son visage. Il sait que Dick a les paupières closes et la bouche fermée. Que s’il posait les lèvres sur l’épaule dénudée, il sentirait la tension des muscles disparaître.
Bruce imagine : sa main au-dessus du ventre de Dick, sa bouche contre la nuque offerte, leurs corps emboîtés, le soupir satisfait de Dick, le sexe de Bruce, chéri entre ses cuisses.
Attendre, un bras engourdi, que Dick se rendorme, puis se dégager, doucement, s’allonger sur le ventre, l’autre bras serrant le corps à ses côtés.
Pour être sûr.
(qu’il est là, qu’il reste, savoir quand il se réveille, qu’il se lève, qu’il se douche, savoir qu’il revient et sentir ses baisers, tous. L’entendre souffler : « Bruce », comme une caresse.)
Bruce s’allonge et lui tourne le dos.
¤
Dans la batcave, Dick entraîne Damian, plaisante avec Tim, proteste en riant lorsqu’Alfred sort le coton et l’alcool. Il consulte Bruce sur les difficultés qu’il rencontre à l’extérieur, ses conclusions.
Dans le manoir, le silence est étouffant. Bruce n’existe plus lorsque Dick retire son masque. Alfred ne commente pas mais la raideur de sa démarche et l’acidité de ses remarques sont explicites. Tim, du regard, demande à Bruce ce qu’il se passe encore et empêche Dick d’en faire trop en patrouille. Chaque soir où Dick revient entier, Bruce sait qu’il le doit à Tim.
Damian, après un temps passé à analyser la situation, en profite pour accaparer toute l’attention de Dick.
« C’est le complexe d’Œdipe le plus tordu de la création, a déclaré Tim. Mais c’est Damian, je ne sais pas pourquoi je m’étonne. »
Bruce craint la réaction de Damian lorsque Dick partira.
(Tim craint la réaction de Bruce. Alfred craint l’implosion de leur famille. Damian ne craint rien : Dick ne l’a encore jamais quitté.)
¤
Bruce sait qu’il suffirait d’un mot pour le retenir.
Peut-être une caresse, tout simplement, un geste.
Dans leur lit, Bruce en crève de l’emprisonner dans ses bras.
¤
Dix jours de silence, et Dick est toujours là.
¤
La fenêtre est grande ouverte sur la nuit et le parc derrière. Dick est assis sur le rebord, une jambe dans le vide. Bruce referme la porte et s’avance de quelques pas.
« Je ne vais pas partir. »
Bruce se fige, fauché en plein élan.
« Pas parce qu’on n’est pas d’accord. Pas parce qu’on s’engueule. Pas parce que tu es incapable de me dire ce que tu veux. »
Dick tourne la tête vers lui.
« Je ne vais pas partir, répète-t-il. Alors arrête de me tester. »
Il descend côté chambre, sans un saut, met les mains dans les poches de son jean. Bruce se demande quand il s’est changé. Il ne les a pas entendus rentrer, Damian, Tim et lui.
« Si j’ai suffisamment grandi pour ne plus foutre le camp dès que ça devient trop dur, tu peux grandir assez pour arrêter de me repousser dès que tu doutes de toi. Ou de moi. »
Dick se rapproche. Bruce sait qu’en tendant le bras, il pourrait le toucher.
« Je vais pas me lasser de faire le premier pas. Jamais. On le sait tout les deux, c’est pas nouveau. Je te connais par cœur, Bruce. Je sais que tu ne viendras jamais vers moi de toi-même. Je sais qu’à chaque fois qu’on va s’engueuler, et on n’a pas fini, crois-moi, parce que tu es monstrueusement gonflant, c’est moi qui vais devoir te sauter dessus quand je serai calmé. J’attends pas que tu changes. La seule chose que je voudrais que tu comprennes, c’est que je ne partirai plus jamais. »
Un sourire, encore un peu pâle. Dick montre le lit.
« Tu crois vraiment que maintenant que j’y ai accès, je vais le quitter ? »
Bruce l’attrape par la nuque et le tire vers lui. La collision est presque brutale ; Bruce presse les lèvres contre la tempe de Dick et ferme les yeux. Sans hésiter, Dick s’est agrippé à sa chemise.
« Je suis désolé », murmure Bruce, maladroit, parce que c’est la seule chose à faire.
Dick se met à rire.
« Oh, la ferme. »
Dick l’embrasse.
Ils font l’amour comme Bruce le leur autorise rarement, avec une passion débridée, à la limite de la violence. Demain ils auront tous les deux les marques du mal qu’ils se sont faits pendant dix jours.
Demain, quand il se réveillera, Dick sera là.
(fin)
787 mots
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Résumé : Bruce attends que Dick parte, comme toujours.
Censure : M/R
Date : samedi 21 août 2010
Disclaimer : Je ne claim rien sauf le droit de nier le canon !
Avertissement : corrigé en dormant à moitié >O<
Lorsque Bruce rentre, Dick est couché, tourné vers la fenêtre aux rideaux fermés. Bruce se déshabille en silence. Il s’assoit sur le rebord du matelas. Dans la quasi-obscurité, il ne voit qu’une silhouette obscure mais il n’a pas besoin de lumière. Il connaît par cœur le dessin de son corps, les traits de son visage. Il sait que Dick a les paupières closes et la bouche fermée. Que s’il posait les lèvres sur l’épaule dénudée, il sentirait la tension des muscles disparaître.
Bruce imagine : sa main au-dessus du ventre de Dick, sa bouche contre la nuque offerte, leurs corps emboîtés, le soupir satisfait de Dick, le sexe de Bruce, chéri entre ses cuisses.
Attendre, un bras engourdi, que Dick se rendorme, puis se dégager, doucement, s’allonger sur le ventre, l’autre bras serrant le corps à ses côtés.
Pour être sûr.
(qu’il est là, qu’il reste, savoir quand il se réveille, qu’il se lève, qu’il se douche, savoir qu’il revient et sentir ses baisers, tous. L’entendre souffler : « Bruce », comme une caresse.)
Bruce s’allonge et lui tourne le dos.
¤
Dans la batcave, Dick entraîne Damian, plaisante avec Tim, proteste en riant lorsqu’Alfred sort le coton et l’alcool. Il consulte Bruce sur les difficultés qu’il rencontre à l’extérieur, ses conclusions.
Dans le manoir, le silence est étouffant. Bruce n’existe plus lorsque Dick retire son masque. Alfred ne commente pas mais la raideur de sa démarche et l’acidité de ses remarques sont explicites. Tim, du regard, demande à Bruce ce qu’il se passe encore et empêche Dick d’en faire trop en patrouille. Chaque soir où Dick revient entier, Bruce sait qu’il le doit à Tim.
Damian, après un temps passé à analyser la situation, en profite pour accaparer toute l’attention de Dick.
« C’est le complexe d’Œdipe le plus tordu de la création, a déclaré Tim. Mais c’est Damian, je ne sais pas pourquoi je m’étonne. »
Bruce craint la réaction de Damian lorsque Dick partira.
(Tim craint la réaction de Bruce. Alfred craint l’implosion de leur famille. Damian ne craint rien : Dick ne l’a encore jamais quitté.)
¤
Bruce sait qu’il suffirait d’un mot pour le retenir.
Peut-être une caresse, tout simplement, un geste.
Dans leur lit, Bruce en crève de l’emprisonner dans ses bras.
¤
Dix jours de silence, et Dick est toujours là.
¤
La fenêtre est grande ouverte sur la nuit et le parc derrière. Dick est assis sur le rebord, une jambe dans le vide. Bruce referme la porte et s’avance de quelques pas.
« Je ne vais pas partir. »
Bruce se fige, fauché en plein élan.
« Pas parce qu’on n’est pas d’accord. Pas parce qu’on s’engueule. Pas parce que tu es incapable de me dire ce que tu veux. »
Dick tourne la tête vers lui.
« Je ne vais pas partir, répète-t-il. Alors arrête de me tester. »
Il descend côté chambre, sans un saut, met les mains dans les poches de son jean. Bruce se demande quand il s’est changé. Il ne les a pas entendus rentrer, Damian, Tim et lui.
« Si j’ai suffisamment grandi pour ne plus foutre le camp dès que ça devient trop dur, tu peux grandir assez pour arrêter de me repousser dès que tu doutes de toi. Ou de moi. »
Dick se rapproche. Bruce sait qu’en tendant le bras, il pourrait le toucher.
« Je vais pas me lasser de faire le premier pas. Jamais. On le sait tout les deux, c’est pas nouveau. Je te connais par cœur, Bruce. Je sais que tu ne viendras jamais vers moi de toi-même. Je sais qu’à chaque fois qu’on va s’engueuler, et on n’a pas fini, crois-moi, parce que tu es monstrueusement gonflant, c’est moi qui vais devoir te sauter dessus quand je serai calmé. J’attends pas que tu changes. La seule chose que je voudrais que tu comprennes, c’est que je ne partirai plus jamais. »
Un sourire, encore un peu pâle. Dick montre le lit.
« Tu crois vraiment que maintenant que j’y ai accès, je vais le quitter ? »
Bruce l’attrape par la nuque et le tire vers lui. La collision est presque brutale ; Bruce presse les lèvres contre la tempe de Dick et ferme les yeux. Sans hésiter, Dick s’est agrippé à sa chemise.
« Je suis désolé », murmure Bruce, maladroit, parce que c’est la seule chose à faire.
Dick se met à rire.
« Oh, la ferme. »
Dick l’embrasse.
Ils font l’amour comme Bruce le leur autorise rarement, avec une passion débridée, à la limite de la violence. Demain ils auront tous les deux les marques du mal qu’ils se sont faits pendant dix jours.
Demain, quand il se réveillera, Dick sera là.
(fin)
787 mots
no subject
Date: 2010-08-22 09:48 am (UTC)...
♥
no subject
Date: 2010-08-23 04:04 pm (UTC)no subject
Date: 2010-08-22 09:58 am (UTC)(et j'aime la relation Dick / Damian ! Et surtout ta phrase "Damian ne craint rien. Dick ne l’a encore jamais quitté." *couine* )
no subject
Date: 2010-08-23 04:05 pm (UTC)♥
no subject
Date: 2010-08-23 06:44 pm (UTC)M'en fiche, moi j'vais lui casser la gole à Batman si il fait encore fuir Dick >o<
Non mais ! On casse pas le bonheur de la bat-family pask on est un coincé
du culdes démonstrations de sentiments !no subject
Date: 2010-08-22 03:29 pm (UTC)Ca change de ce qu'on lit d'habitude au dcverse, et c'est... chaud. Merci :)
no subject
Date: 2010-08-23 04:06 pm (UTC)no subject
Date: 2010-08-22 06:12 pm (UTC)no subject
Date: 2010-08-23 04:12 pm (UTC)Mais Dick n'est pas non plus innocent dans l'affaire, tu sais. Et il connaît Bruce, il a toujours su dans quoi il s'embarquait. :)
no subject
Date: 2010-08-22 10:16 pm (UTC)...
... GUH °3° ♥♥♥
C'est juste...C'est juste trop bien. J'aimerai écrire une review à la hauteur de cette fic, mais mon cerveau ne suit pas >o<
Mais c'est juste, et c'est bon, et c'est eux à chaque lettres !
Le parallèle entre ce qui se passe dans la chambre de Bruce et Dick et ce qui se passe dans le reste du manoir. La raideur d'Alfred, Tim qui questionne du regard (le "encore"), qui surveille Dick en patrouille, qui s'inquiète, et... Et Damian XD ♥ Qui fait son sale complexe d'Oedipe plus tordu tu meurs XD et qui veut toute l'attention de Dick et... "Damian ne craint rien. Dick ne l’a encore jamais quitté." cette phrase c'est juste de l'awesomeness réincarnée avec des lettres °O° C'est EUX, c'est tellement EUX Leur relation, la façon de Damian de voir les choses... >3<
( et quelque part, tu sens que ça va faire mal un jour >.< )
Et Bruce qui crève d'envie de toucher Dick et qui s'enferme dans sa propre misère (parce que c'est beaucoup mieux comme ça), qui est tellement persuadé que Dick va partir, qui n'a que ça en tête, Dick va partir, Dick va le quitter... Et la scène finale ♥♥♥♥♥♥♥
Dick a les yeux tellement ouverts sur leur relation quoi, il ne se fait plus aucune illusion, n'a plus du tout envie d'angstiser tout seul dans son coin, a murit d'une autre façon pendant l'absence de Bruce, sait très bien où ils vont et ce qu'ils devront affronter et que ça ne sera pas facile mais que cette fois, il n'abandonnera pas, et qu'il sait que ça sera toujours à lui de faire le premier pas, mais il le sait, et ça va.
Et puis alors les derniers mots, les derniers mots !!
Ils font l’amour comme Bruce le leur autorise rarement, avec une passion débridée, à la limite de la violence. Demain ils auront tous les deux les marques du mal qu’ils se sont pendant dix jours.
C'est tout ce que je n'arrive jamais à exprimer et qui manque si souvent dans les fics : la violence de leur relation ! Cette violence si intriquée dans leur passion, qui fait mal mais qui fait du bien, qui laisse des marques... Cette violence que Bruce essaye toujours de réprimer mais qui des fois est plus forte que tout.
GUH *3*
no subject
Date: 2010-08-23 04:26 pm (UTC)parce que c'est exactement ça et, et, et,
I LOVE YOU TOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO
no subject
Date: 2010-08-22 11:20 pm (UTC)mais genre O.O
Like tears in my eyes O.O
C'est du pur génie. Tim, Bruce, Dick, Damian qui n'a pas peur et tout les autres qui marchent sur des oeufs.
et c'est beau et ça fait mal et c'est plein d'espoir à la fin! et ♥
no subject
Date: 2010-08-23 04:13 pm (UTC)*se pique une aiguille dans les chevilles pour les dégonfler XD*
no subject
Date: 2010-08-23 08:02 am (UTC)A couper le souffle.
oh, bon sang, ça traduit tellement bien l'intensité de cette relation.
Dick est incroyablement réaliste et a une capacité à accepter les choses qui le rende candidat à la sainteté !!! Pour accepter l'incapacité de Bruce à changer, il faut être extraordinaire.
Dick, je t'aime....
no subject
Date: 2010-08-23 04:21 pm (UTC)Comme je disais à Calli, Dick n'est pas innocent. Il a cette tendance désagréable à tout plaquer dès que ça devient trop dur émotionellement pour lui (le nombre de fois où il fait le coup aux Titans est mémorable, il le fait aux Outsiders, il le fait à la Batfamille...), Bruce est parfaitement en droit de craindre le moment où ça va arriver.
J'aime penser que le fait d'être/d'avoir été Batman, d'avoir été responsable de Damian, ça l'a rendu plus fort, plus mature sur ce point.
Et bon, Bruce gère pas les choses de façon terrible, d'accord :p Mais ses histoires d'amour se sont toujours fini de façon foireuse parce qu'il est trop tordu dans sa tête. Et ça, Dick l'a toujours su ! Il s'en est suffisamment pris plein la gueule pour savoir dans quoi il s'engage :D Il faut juste qu'il trouve un équilibre, tous les deux :D (et Bruce changera ! Dès qu'il sera sûr que Dick est vraiment, vraiment là pour toujours, ça va être le branle bas de combat !)
Bref XD
no subject
Date: 2010-08-23 08:33 am (UTC)Gnaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
*fond littéralement de bonheur après tout ce angst*
Tu dois être la seule à me faire lire du angst. Et à me faire aimer ça.
mais le fluff vaincra quand même !
sofi/le.temps.des.cerises
ps : on peux taper Bruce ? le secouer ? l'accrocher par les pieds ? le priver de pâte à tartiner ?
no subject
Date: 2010-08-23 04:22 pm (UTC)Le fluff vaincra toujours :D
Pour Bruce, je te réfère au commentaire juste au-dessus !
no subject
Date: 2010-09-27 06:34 pm (UTC)And with Alfred but that... always.
no subject
Date: 2010-09-27 09:33 pm (UTC)si on m'avait dit que je serais à ce point fan de la relation de Dick et Damian XD
no subject
Date: 2010-09-27 09:43 pm (UTC)Il a bien évolué, sa relation avec Dick est très intéressante, il est terriblement mignon quant il s'indigne des injustice de se monde (ne pas réussir à sauver Scarlet, les petits orphelins morts,...) et puis bon, c'est tout de même un autre pauvre petit poussin, ce Robin.
Mh et bien sur Damian/Colin. Parce que c'est juste AWESOME.
Je lui trouve aussi un nombre de points communs avec Jay proprement terrifiant.
Bref. Ce soir tu m'a tué, mutilé le nez et rendue une bonne humeur que la perspective de la rentrée de demain avait sérieusement attaqué.
C'était presque un peu trop d'un coup, même (j'ai totalement arrêté d'écrire pour lire. Alors que j'étais dans une bonne phase là).
no subject
Date: 2010-09-27 10:52 pm (UTC)Pareil pour Damian, le côté "il faut absolument un fils de sang" m'avait gonflée. Mais son personnage est assez bien géré, je regrette juste que Jason en pâtisse :(
no subject
Date: 2010-10-02 11:34 am (UTC)J'aime beaucoup comment tu décris Dick et Bruce. Bruce parle clairement comme un adulte et Dick parle de manière plus jeune (même si c'est un adulte, c'est toujours un jeune dans sa tête XD)
Bref, je ne me lasse pas de commenter alors ne te lasse pas d'écrire ;p
no subject
Date: 2010-10-09 05:55 pm (UTC)