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Les ficlettes de la satisfaction immédiate
(aussi appelées : Still no plot, Still no headache)
(ou : FLUFF STRIKES BACK)
Roy/Connor
PG/K+
Avant tout, il y avait eu ses mains.
Connor ne s’en était pas tout de suite rendu compte, mais sa fascination avait commencé là, sur les doigts de Roy refermés autour de son arc. La précision de la position, la délicatesse et la force lorsqu’il tirait sur la corde.
(Puis son rire lorsqu’il faisait sauter Lian dans ses bras, son assurance tranquille, son humour horrible, sa loyauté).
Mais d’abord il y avait eu ses mains.
L’une d’entre elle était posée au creux de son dos lorsque Connor ouvrit lentement les yeux. Il croisa le regard de Roy qui esquissa un demi-sourire. Soudain terriblement embarrassé, Connor eut l’envie irrépressible de cacher le visage dans son oreiller. Il entendit le rire de Roy, doux et affectueux, sentit un baiser sur son épaule nue. La main remonta le long de son dos et se posa sur sa nuque.
« Ça va ? » murmura-t-il.
Connor se fit violence pour tourner à nouveau la tête vers lui. Roy haussa les deux sourcils. Connor sourit irrésistiblement. Il se tourna sur le côté, prit la main de Roy dans la sienne et en caressa la paume calleuse.
« Ça va. »
(fin)
195 mots
Tim/Kon
G/K
Il est trois heures du matin lorsque Conner frappe à la fenêtre de l’appartement. Ce dernier rentre à peine de patrouille ; las, il n’a pas eu le courage de pousser jusqu’au manoir et s’est réfugié dans l’un des nombreux points de chute qu’ils ont à Gotham. Il vient d’enfiler un caleçon propre, un vieux t-shirt ayant sûrement appartenu à Dick, et il s’apprête à aller se brosser les dents quand les coups contre la vitre attirent son attention.
Conner, donc, en suspension devant sa fenêtre.
Horrifié, Tim se précipite pour lui ouvrir en espérant qu’aucun insomniaque ne pensera à lever les yeux.
« Conner, siffle-t-il en ses dents. Qu’est-ce que tu fiches ici ? Comment tu m’as trouvé ?
— Le localisateur de la JLA », répond Conner d’un ton presque absent en pénétrant dans l’appartement.
Tim referme derrière lui et se retourne, bras croisés.
« Qu’est-ce que tu veux ?
— Dans deux jours, tu as vingt ans. »
Interloqué, Tim hausse un sourcil.
« Content de savoir que tu te souviens de la date de mon anniversaire…
— Ça fait au moins trois ans qu’on perd du temps », continue Conner d’un ton péremptoire inhabituel.
Il lui sourit, les mains dans les poches. La première chose qui vient à l’esprit de Tim, c’est qu’il s’est rendu compte que quelqu’un volait des jours et des minutes. Puis Conner le saisit par la nuque et…
« J’en ai marre d’attendre que tu fasses le premier pas », murmure-t-il sur ses lèvres.
Conner l’embrasse comme s’il leur restait tout le temps du monde.
(fin)
260 mots
Mercredi 3 mars/Jeudi 4 mars
(aussi appelées : Still no plot, Still no headache)
(ou : FLUFF STRIKES BACK)
Roy/Connor
PG/K+
Avant tout, il y avait eu ses mains.
Connor ne s’en était pas tout de suite rendu compte, mais sa fascination avait commencé là, sur les doigts de Roy refermés autour de son arc. La précision de la position, la délicatesse et la force lorsqu’il tirait sur la corde.
(Puis son rire lorsqu’il faisait sauter Lian dans ses bras, son assurance tranquille, son humour horrible, sa loyauté).
Mais d’abord il y avait eu ses mains.
L’une d’entre elle était posée au creux de son dos lorsque Connor ouvrit lentement les yeux. Il croisa le regard de Roy qui esquissa un demi-sourire. Soudain terriblement embarrassé, Connor eut l’envie irrépressible de cacher le visage dans son oreiller. Il entendit le rire de Roy, doux et affectueux, sentit un baiser sur son épaule nue. La main remonta le long de son dos et se posa sur sa nuque.
« Ça va ? » murmura-t-il.
Connor se fit violence pour tourner à nouveau la tête vers lui. Roy haussa les deux sourcils. Connor sourit irrésistiblement. Il se tourna sur le côté, prit la main de Roy dans la sienne et en caressa la paume calleuse.
« Ça va. »
(fin)
195 mots
Tim/Kon
G/K
Il est trois heures du matin lorsque Conner frappe à la fenêtre de l’appartement. Ce dernier rentre à peine de patrouille ; las, il n’a pas eu le courage de pousser jusqu’au manoir et s’est réfugié dans l’un des nombreux points de chute qu’ils ont à Gotham. Il vient d’enfiler un caleçon propre, un vieux t-shirt ayant sûrement appartenu à Dick, et il s’apprête à aller se brosser les dents quand les coups contre la vitre attirent son attention.
Conner, donc, en suspension devant sa fenêtre.
Horrifié, Tim se précipite pour lui ouvrir en espérant qu’aucun insomniaque ne pensera à lever les yeux.
« Conner, siffle-t-il en ses dents. Qu’est-ce que tu fiches ici ? Comment tu m’as trouvé ?
— Le localisateur de la JLA », répond Conner d’un ton presque absent en pénétrant dans l’appartement.
Tim referme derrière lui et se retourne, bras croisés.
« Qu’est-ce que tu veux ?
— Dans deux jours, tu as vingt ans. »
Interloqué, Tim hausse un sourcil.
« Content de savoir que tu te souviens de la date de mon anniversaire…
— Ça fait au moins trois ans qu’on perd du temps », continue Conner d’un ton péremptoire inhabituel.
Il lui sourit, les mains dans les poches. La première chose qui vient à l’esprit de Tim, c’est qu’il s’est rendu compte que quelqu’un volait des jours et des minutes. Puis Conner le saisit par la nuque et…
« J’en ai marre d’attendre que tu fasses le premier pas », murmure-t-il sur ses lèvres.
Conner l’embrasse comme s’il leur restait tout le temps du monde.
(fin)
260 mots
Mercredi 3 mars/Jeudi 4 mars
no subject
Date: 2010-03-05 11:18 pm (UTC)no subject
Date: 2010-03-06 10:51 am (UTC)no subject
Date: 2010-03-14 10:49 pm (UTC)Ooooh Conner :3
no subject
Date: 2010-03-19 11:18 am (UTC)