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Les ficlettes de la satisfaction immédiate
(aussi appelées : No plot, No headache)
(ou : FLUFF SHALL PREVAIL)
Disclaimer : DC, yadda, etc :D
Brisby, que le fluff te guérisse ! *agite sa baguette à paillettes*
Bruce/Dick
PG-13/T
« Dick.
— Mmh… »
Le fauteuil était plus grand, autrefois, songea Dick vaguement. Ou plutôt, lui avait grandi. Une chance qu’il était souple, ou la position serait moins que confortable.
Bruce posa la main sur sa hanche, légère. Dick resserra un peu plus fermement les bras et enfouit le visage dans son cou.
Bruce sentait une eau de Cologne chère et subtile, nettement masculine. Dick colla le nez contre son cou. Petite crispation des doigts sur sa hanche, puis un soupir de résignation. Dick célèbra sa victoire avec un baiser, un petit coup de langue, un petit coup de dent, parce que, mmmh, Bruce.
Bruce passa les bras autour de sa taille, appuya une main dans son dos.
« Qu’est-ce que tu fais. »
Sur mes genoux n’était pas dit mais compris par l’ensemble des personnes présentes dans le bureau (population : une chauve-souris grognonne, un rouge-gorge adulte).
Dick sourit parce que Bruce posait toujours ses questions comme des affirmations.
« Un câlin. »
Il imaginait parfaitement l’expression désarçonnée de Bruce et retint un rire.
« Dick. »
Je travaille, je n’ai pas le temps pour tes pratiques étranges et barbares. (Manoir Wayne ; Langue officielle : le sous-entendu.)
« Mmmh. »
Enfin, un nouveau soupir, puis Bruce s’enfonça plus loin dans son fauteuil. Reddition totale ! Dick se réinstalla avec satisfaction. Il sentit un baiser furtif sur sa tempe, la main de Bruce entama une timide caresse.
Avec un peu de chance, Alfred oublierait le dîner.
(fin)
247 mots
Tim/Connor
K+/PG
Nb pour Luna : Connor, c’est le blond en vert :D
Après des semaines de torture intérieure (qui peut se résumer par : « Il est trop jeune ! » « C’est le frère de Nightwing ! » « Il est trop jeune ! » « Je le connais à peine ! » « Il est trop jeune ! »), ça se termine ainsi : Robin lui tombe dans les bras. Littéralement.
Connor le rattrape de si peu qu’un instant il le voit s’écraser quinze étages plus bas.
« Ça va ? » demande-t-il dans un souffle et Robin, allongé sur lui, le regarde avec une expression, qui, malgré son masque, affiche la peur qu’il vient de se faire. Ou peut-être Connor a-t-il passé bien trop de temps à essayer de comprendre son humeur en fonction des mouvements de sa bouche.
Et puis il… Robin l’embrasse.
Connor récite toutes les prières qu’il connaît. Ou il essaie.
« Je sais que ce n’est pas le moment, dit Robin. Mais j’en avais vraiment, vraiment très envie. »
Connor, sous le choc, hoche la tête.
« Je m’appelle Tim, dit Robin.
— Connor, répond Connor.
— Je sais », lui rappelle Tim avec un demi-sourire.
Connor sent qu’il a de longues heures de méditations devant lui.
(fin)
200 mots
Roy/Dick
M/R
Le problème, c’est que l’appartement de Roy et Lian est petit. Plus petit que celui de Dick. Roy peut difficilement lui demander de venir vivre avec eux. Il pourrait proposer à Dick qu’ils aillent tous vivre chez ce dernier mais ça demande plus de courage que Roy n’en a actuellement. Un jour peut-être, quand il aura retrouvé les couilles que Dick Grayson lui vole régulièrement.
Ou bien Lian demandera pour lui. Et Roy devrait vraiment, vraiment avoir honte d’être moins couillu que sa fille de sept ans.
Cette nuit-là, comme souvent, Dick profite de la fenêtre ouverte pour se glisser dans le lit de Roy au milieu de la nuit. Ils font l’amour avec lenteur, intensité. Dick est flexible, dans tous les sens du terme. Même à l’époque des Outsiders, quand ils se servaient du sexe pour évacuer leur agressivité, Dick laissait Roy le prendre s’il voulait, et ce quel que soit le gagnant de leur lutte déguisée en préliminaires. Il n’y avait que Dick Grayson pour faire de son cul sa meilleure arme.
Roy est flexible aussi. En général. Moins avec Dick. Il a besoin de l’illusion que Dick lui appartient. Illusion étant le mot-clef et tout ça.
Des fois Roy se dit qu’il n’a fait qu’échanger une drogue pour une autre.
Il donne un dernier coup de rein, pour le principe, Dick a déjà son compte et Roy n’en a pas vraiment besoin ; c’est un réflexe, l’envie de sentir son corps épouser celui de Dick. Roy frissonne, jure, et se laisse complètement retomber. Il dépose un baiser sur la nuque de Dick, se retire et se débarrasse du préservatif avant de se recoucher à côté de Dick. Ce dernier s’étire avec satisfaction et le regarde, un petit sourire aux lèvres, les yeux mi-clos. Il pose soudain la main sur celle de Roy, glisse ses doigts dans les siens.
« Je me disais », murmure-t-il.
Honnêtement, Roy s’attend au pire, mais il est trop délassé pour s’y préparer.
« Je passe plus de nuits chez toi que chez moi. Je pourrais vendre mon appart’ et tu pourrais donner ton préavis de départ. On pourrait louer quelque chose d’un peu plus grand dans le quartier. Histoire que Lian n’ait pas à changer d’école. »
Roy a besoin d’un temps pour comprendre.
« … tu veux qu’on vive ensemble ? »
Et là Dick Grayson, Dick Grayson, détourne les yeux et souffle d’une voix incertaine :
« Si tu en as envie. »
Roy le choppe par la nuque et l’embrasse comme la première fois, quand ils avaient quinze ans et qu’ils étaient trop pressés.
Des fois, Roy aime tellement Dick qu’il croit qu’il va exploser.
Des fois, il se dit que, ouais, c’est réciproque.
(fin)
455 mots
Bart/Rose
G/K
« La seule chose qu’était bien, dans le futur, c’était nous, déclare Bart. Alors autant le reste faut le changer, autant ça faut le garder. »
Rose le regarde comme si la speedforce lui avait complètement grillé les neurones.
« Dans tes rêves les plus fous, Gonzales. »
Il se doutait qu’elle ne le croirait pas, mais lui il sait, et c’est l’important.
(Quelques mois plus tard, elle l’embrasse pour le faire taire. Il avait totalement raison.)
¤
Bart n’a pas vraiment l’intention d’aller déloger Deathstroke de sous le rocher où il se cache en ce moment et Jericho est encore mort, alors il va voir la personne la mieux placée ensuite.
« Tu quoi ? demande Nightwing d’un ton perturbé.
— Je viens te demander la main de Rose en mariage !
— Rose ? Rose Wilson ?
— Tu en connais d’autres ? »
Ce qu’il y a de bien, avec Nightwing, c’est qu’il vous prend toujours au sérieux.
« Si elle accepte, tu as ma bénédiction », dit-il d’un ton solennel.
Bart se dit que de toute façon, le jour du mariage, Rose préférerait sûrement avoir Nightwing à son bras plutôt que son père.
(Rose tient bon sur son refus, mais elle accepte quand même qu’ils fassent la fête à la Tour. Et Nightwing réussit à la faire danser et l’amène à Bart ensuite, alors ça compte.)
¤
Et ils vécurent heureux, entre deux ou trois Crises, comme Bart l’avait prédit.
(fin)
240 mots
Tim/Dick
K+/PG
Tim sait que ça les perturbe tous. Au moins un peu, sinon beaucoup pour certains. Il sait qu’il leur faudra du temps pour s’habituer. Qu’en attendant il faudra supporter leurs murmures, leurs froncements de sourcils, leurs regards interrogateurs.
Mais honnêtement ? Il s’en fout.
Parce que Dick l’embrasse, avec ou sans leur masque, Dick lui prend la main, en public ou dans l’intimité, Dick passe les bras autour de son cou et le serre contre lui.
Dick le regarde et de ses yeux, lui dit « il n’y a que toi qui compte ».
Dick ne l’appelle plus jamais « petit frère ».
Et s’il faut aux autres un peu plus de temps pour s’y faire, eh bien, c’est leur problème.
Tim, au matin, s’endormira dans les bras de Dick, et Dick dans les siens.
(fin)
135 mots
mardi 2 mars 2010
NB : J'ai pas eu le temps de faire la Roy/Connor et la Tim/Kon mais elles devraient se pointer demain :p
(aussi appelées : No plot, No headache)
(ou : FLUFF SHALL PREVAIL)
Disclaimer : DC, yadda, etc :D
Brisby, que le fluff te guérisse ! *agite sa baguette à paillettes*
Bruce/Dick
PG-13/T
« Dick.
— Mmh… »
Le fauteuil était plus grand, autrefois, songea Dick vaguement. Ou plutôt, lui avait grandi. Une chance qu’il était souple, ou la position serait moins que confortable.
Bruce posa la main sur sa hanche, légère. Dick resserra un peu plus fermement les bras et enfouit le visage dans son cou.
Bruce sentait une eau de Cologne chère et subtile, nettement masculine. Dick colla le nez contre son cou. Petite crispation des doigts sur sa hanche, puis un soupir de résignation. Dick célèbra sa victoire avec un baiser, un petit coup de langue, un petit coup de dent, parce que, mmmh, Bruce.
Bruce passa les bras autour de sa taille, appuya une main dans son dos.
« Qu’est-ce que tu fais. »
Sur mes genoux n’était pas dit mais compris par l’ensemble des personnes présentes dans le bureau (population : une chauve-souris grognonne, un rouge-gorge adulte).
Dick sourit parce que Bruce posait toujours ses questions comme des affirmations.
« Un câlin. »
Il imaginait parfaitement l’expression désarçonnée de Bruce et retint un rire.
« Dick. »
Je travaille, je n’ai pas le temps pour tes pratiques étranges et barbares. (Manoir Wayne ; Langue officielle : le sous-entendu.)
« Mmmh. »
Enfin, un nouveau soupir, puis Bruce s’enfonça plus loin dans son fauteuil. Reddition totale ! Dick se réinstalla avec satisfaction. Il sentit un baiser furtif sur sa tempe, la main de Bruce entama une timide caresse.
Avec un peu de chance, Alfred oublierait le dîner.
(fin)
247 mots
Tim/Connor
K+/PG
Nb pour Luna : Connor, c’est le blond en vert :D
Après des semaines de torture intérieure (qui peut se résumer par : « Il est trop jeune ! » « C’est le frère de Nightwing ! » « Il est trop jeune ! » « Je le connais à peine ! » « Il est trop jeune ! »), ça se termine ainsi : Robin lui tombe dans les bras. Littéralement.
Connor le rattrape de si peu qu’un instant il le voit s’écraser quinze étages plus bas.
« Ça va ? » demande-t-il dans un souffle et Robin, allongé sur lui, le regarde avec une expression, qui, malgré son masque, affiche la peur qu’il vient de se faire. Ou peut-être Connor a-t-il passé bien trop de temps à essayer de comprendre son humeur en fonction des mouvements de sa bouche.
Et puis il… Robin l’embrasse.
Connor récite toutes les prières qu’il connaît. Ou il essaie.
« Je sais que ce n’est pas le moment, dit Robin. Mais j’en avais vraiment, vraiment très envie. »
Connor, sous le choc, hoche la tête.
« Je m’appelle Tim, dit Robin.
— Connor, répond Connor.
— Je sais », lui rappelle Tim avec un demi-sourire.
Connor sent qu’il a de longues heures de méditations devant lui.
(fin)
200 mots
Roy/Dick
M/R
Le problème, c’est que l’appartement de Roy et Lian est petit. Plus petit que celui de Dick. Roy peut difficilement lui demander de venir vivre avec eux. Il pourrait proposer à Dick qu’ils aillent tous vivre chez ce dernier mais ça demande plus de courage que Roy n’en a actuellement. Un jour peut-être, quand il aura retrouvé les couilles que Dick Grayson lui vole régulièrement.
Ou bien Lian demandera pour lui. Et Roy devrait vraiment, vraiment avoir honte d’être moins couillu que sa fille de sept ans.
Cette nuit-là, comme souvent, Dick profite de la fenêtre ouverte pour se glisser dans le lit de Roy au milieu de la nuit. Ils font l’amour avec lenteur, intensité. Dick est flexible, dans tous les sens du terme. Même à l’époque des Outsiders, quand ils se servaient du sexe pour évacuer leur agressivité, Dick laissait Roy le prendre s’il voulait, et ce quel que soit le gagnant de leur lutte déguisée en préliminaires. Il n’y avait que Dick Grayson pour faire de son cul sa meilleure arme.
Roy est flexible aussi. En général. Moins avec Dick. Il a besoin de l’illusion que Dick lui appartient. Illusion étant le mot-clef et tout ça.
Des fois Roy se dit qu’il n’a fait qu’échanger une drogue pour une autre.
Il donne un dernier coup de rein, pour le principe, Dick a déjà son compte et Roy n’en a pas vraiment besoin ; c’est un réflexe, l’envie de sentir son corps épouser celui de Dick. Roy frissonne, jure, et se laisse complètement retomber. Il dépose un baiser sur la nuque de Dick, se retire et se débarrasse du préservatif avant de se recoucher à côté de Dick. Ce dernier s’étire avec satisfaction et le regarde, un petit sourire aux lèvres, les yeux mi-clos. Il pose soudain la main sur celle de Roy, glisse ses doigts dans les siens.
« Je me disais », murmure-t-il.
Honnêtement, Roy s’attend au pire, mais il est trop délassé pour s’y préparer.
« Je passe plus de nuits chez toi que chez moi. Je pourrais vendre mon appart’ et tu pourrais donner ton préavis de départ. On pourrait louer quelque chose d’un peu plus grand dans le quartier. Histoire que Lian n’ait pas à changer d’école. »
Roy a besoin d’un temps pour comprendre.
« … tu veux qu’on vive ensemble ? »
Et là Dick Grayson, Dick Grayson, détourne les yeux et souffle d’une voix incertaine :
« Si tu en as envie. »
Roy le choppe par la nuque et l’embrasse comme la première fois, quand ils avaient quinze ans et qu’ils étaient trop pressés.
Des fois, Roy aime tellement Dick qu’il croit qu’il va exploser.
Des fois, il se dit que, ouais, c’est réciproque.
(fin)
455 mots
Bart/Rose
G/K
« La seule chose qu’était bien, dans le futur, c’était nous, déclare Bart. Alors autant le reste faut le changer, autant ça faut le garder. »
Rose le regarde comme si la speedforce lui avait complètement grillé les neurones.
« Dans tes rêves les plus fous, Gonzales. »
Il se doutait qu’elle ne le croirait pas, mais lui il sait, et c’est l’important.
(Quelques mois plus tard, elle l’embrasse pour le faire taire. Il avait totalement raison.)
¤
Bart n’a pas vraiment l’intention d’aller déloger Deathstroke de sous le rocher où il se cache en ce moment et Jericho est encore mort, alors il va voir la personne la mieux placée ensuite.
« Tu quoi ? demande Nightwing d’un ton perturbé.
— Je viens te demander la main de Rose en mariage !
— Rose ? Rose Wilson ?
— Tu en connais d’autres ? »
Ce qu’il y a de bien, avec Nightwing, c’est qu’il vous prend toujours au sérieux.
« Si elle accepte, tu as ma bénédiction », dit-il d’un ton solennel.
Bart se dit que de toute façon, le jour du mariage, Rose préférerait sûrement avoir Nightwing à son bras plutôt que son père.
(Rose tient bon sur son refus, mais elle accepte quand même qu’ils fassent la fête à la Tour. Et Nightwing réussit à la faire danser et l’amène à Bart ensuite, alors ça compte.)
¤
Et ils vécurent heureux, entre deux ou trois Crises, comme Bart l’avait prédit.
(fin)
240 mots
Tim/Dick
K+/PG
Tim sait que ça les perturbe tous. Au moins un peu, sinon beaucoup pour certains. Il sait qu’il leur faudra du temps pour s’habituer. Qu’en attendant il faudra supporter leurs murmures, leurs froncements de sourcils, leurs regards interrogateurs.
Mais honnêtement ? Il s’en fout.
Parce que Dick l’embrasse, avec ou sans leur masque, Dick lui prend la main, en public ou dans l’intimité, Dick passe les bras autour de son cou et le serre contre lui.
Dick le regarde et de ses yeux, lui dit « il n’y a que toi qui compte ».
Dick ne l’appelle plus jamais « petit frère ».
Et s’il faut aux autres un peu plus de temps pour s’y faire, eh bien, c’est leur problème.
Tim, au matin, s’endormira dans les bras de Dick, et Dick dans les siens.
(fin)
135 mots
mardi 2 mars 2010
NB : J'ai pas eu le temps de faire la Roy/Connor et la Tim/Kon mais elles devraient se pointer demain :p
no subject
Date: 2010-03-06 10:53 am (UTC)Roy needs love ♥
no subject
Date: 2010-03-06 11:18 am (UTC)no subject
Date: 2010-03-06 05:56 pm (UTC)nan mais tu va voir, ça va venir :D Un jour tu vas te rendre compte que tu sais plein de trucs sans savoir comment XD