Originale : Sous l'aile du corbeau
May. 9th, 2008 03:37 pm![[personal profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/user.png)
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Sous l’aile du corbeau
Genre : heu. >.>
Censure : K+
Date : Jeudi 8 mai 2008
Concept :
frudule et
shakeskp
Note : Écrit pour frudule à l’occasion d’ecrirepouraider… Il s’agit d’un univers sur lequel on a déliré, et j’ai essayé de faire en sorte qu’on le comprenne ^^; Pas sûre que ça rende grand-chose XD
Il s’était fondu dans la foule, caméléon partout où il se trouvait, et surtout dans les tavernes. Il n’existait pas de lieu, pas d’éléments dans lequel il n’aurait paru à son aise, mais le cœur de la ville se trouvait là : devant un verre d’alcool et entre deux joueurs de cartes. Large sourire aux lèvres, généreux de sa bourse et de sa conversation, il glanait informations et ouï-dire, séparait le faux du vrai, l’important de l’inutile et prenait en toute discrétion le pouls de la population.
Ces derniers temps, l’ambiance générale l’inquiétait. Trouvères et troubadours rajoutaient de troublants refrains à leurs couplets, racontaient de drôles d’histoires ; la rumeur populaire y apportait son approbation.
Lorsque, somme toute sans déclencheur particulier, un buveur leva son verre en criant : « Longue vie à l’Empereur ! » et que toute la taverne l’imita, même le saoulard effondré contre le mur, notre homme jugea qu’il était temps de réagir.
¤¤¤
La nuit était tombée depuis longtemps, mais Lord Alpha, l’un des membres du Triumvirat des conseillers de l’Empereur, était loin d’être couché. Certaines affaires ne pouvaient être réglées qu’à la lueur des bougies, pendant les heures tardives où le palais sommeillait presque entièrement.
Endormi ou pas, il n’appréciait pas d’être dérangé une fois retiré dans ses appartements. Aussi, lorsque la porte de sa chambre s’ouvrit sans même que l’on ait poliment frappé, s’apprêta-t-il à faire comprendre tout son déplaisir à l’importun, mais il n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche.
« Waldar ! » s’exclama une voix bien connue.
L’irritation de Lord Alpha s’accrut, réponse automatique à son vis-à-vis.
« Beta, gronda-t-il, glacial. Je t’ai déjà dit de ne pas m’appeler comme cela. »
Le second membre de leur trio haussa négligemment les épaules.
« Détends-toi, répondit-il. Il faut que je te parle, c’est la panique. »
Beta lui résuma la situation en quelques mots, Alpha ferma les yeux un court instant.
« Nous savions que cela finirait par arriver, dit-il enfin. Cela ne pouvait continuer comme cela pendant encore longtemps.
— Ouais, enfin je pensais pas que ce serait aussi rapide. On fait quoi ? On peut pas laisser Rhysaern s’en rendre compte ou bien… »
Un silence pesant et significatif accueillit ces derniers mots. Alpha pinça les lèvres, résolu.
« Allons retrouver Psy, nous aurons besoin de lui pour déterminer les mesures à prendre. »
¤¤¤
Lord Psy était au fond de son lit, un bonnet sur la tête, une main sur les fesses d’une servante. Il grogna lorsque ses compagnons l’en tirèrent, enfila une robe de chambre sans la fermer, puis ils allèrent se réfugier dans le bureau du dernier membre du Triumvirat. Lord Psy leur sortit un excellent alcool de prune qu’il gardait pour ces occasions (peu nombreuses heureusement, il détestait se relever). Comme toujours, Alpha refusa, et, pressé, n’eut même pas le bon goût d’attendre qu’ils soient confortablement installé pour lui faire part de la situation. Psy sirota son alcool tranquillement et grogna lorsque Alpha déclara :
« Il va falloir redoubler de vigilance. Établir de nouvelles règles de protocole.
— Pourquoi ? Éviter que la rumeur vienne aux oreilles de Rhysaern ? Parce que tu crois que ça va marcher ?
— Tu contrôles tout l’espionnage, Beta. À toi de t’assurer que les bonnes mauvaises informations lui soit répétées. Psy ?
— Oh, vous savez, ce que j’ai à en dire, moi…
— Tu es le maître de la propagande. »
Psy haussa les épaules et se gratta le ventre.
« Boaf. Je peux essayer de diminuer un peu la fréquence des représentations théâtrales. On en est à la justification de sa descendance divine, j’ai flanqué un môme à la déesse Tressteykouet, on sait pas encore qui est le paternel, je vais laisser planer le doute… »
Alpha hocha la tête.
« Tenez-vous sur vos gardes. »
Les trois conspirateurs se séparèrent alors (non sans que Beta ait tenté de s’insinuer dans le lit d’Alpha, et que ce dernier l’ait éjecté par l’une de ses fenêtres), avec bon espoir de contenir la situation.
Mais les choses étaient bien plus avancées qu’ils ne le croyaient, et la lourde machine du destin se mettait déjà en marche.
¤¤¤
Rhysaern était Maître du Monde de naissance. Non qu’il soit né Maître du Monde, bien entendu, il y avait travaillé, il avait gagné son empire à la sueur du front de son entourage. Mais il avait su, très jeune, qu’il était destiné à régner sur le monde. À l’école, il avait bien pris note des échecs de ses prédécesseurs afin de ne pas refaire les mêmes (encore que si vous lui demandiez son avis, ceux-là n’avaient clairement pas la carrure nécessaire pour devenir Maître du Monde). Il avait pris ses dispositions, la toute première étant de s’approprier l’opposant qui lui était destiné. Après quelques recherches, il lui apparut évident qu’il ne pouvait s’agir que de son meilleurs ami et voisin, Glendower aux boucles blondes, au sourire bête, et à la sale manie de sauver tout ce qui passait. Il fut facile de l’aider à trouver son Épée de Lumière et ensuite le détourner du droit chemin. Glendower mourrait pour Rhysaern, et ce dernier trouvait cela très bien.
Le reste ne fut que logistique (renverser le pouvoir actuel, opprimer, reconstruire le palais à son image…). Aujourd’hui Rhysaern était un Maître du Monde comblé, un tyran craint de tous, dont les longs cheveux noirs reflétaient la noirceur d’âme.
Aussi, lorsqu’un bouclé blond au sourire bête se pointa une Épée de Lumière et s’agenouilla devant lui, eut-il un instant de stupéfaction (partagé par Glendower, ce brave compagnon).
« Votre Majesté, mon nom est Gahalahaglahad. Une sombre menace pèse sur votre royaume et je viens vous offrir l’aide de mon Épée de Lumière afin de le défendre ! »
Glendower se racla très fort la gorge et fit briller sa propre arme de destruction massive héroïque. Rhysaern regarda l’importun, parfaitement convaincu que celui-ci avait perdu la tête à un moment de sa Quête de la Lumière.
« Alpha. »
Ce dernier, un peu pâle ce matin, se rapprocha.
« Votre Majesté ?
— Fais-moi le plaisir de rappeler à ce jeune héros que je suis la sombre menace qui pèse sur mon royaume. Qui est un empire.
— Oui, Majesté. »
Avec un enthousiasme peu commun au plus froid des membres de son Triumvirat, Alpha s’apprêtait à ordonner qu’on exécute le héros en question, lorsqu’un rire démoniaque emplit la salle du trône.
Et ce n’était pas celui de Rhysaern.
« Brynmor Mork ! » s’exclama Glaglalalahad, ou quelque fut son nom, en brandissant son Épée de Lumière.
Glendower s’était mis devant Rhysaern dès les premières notes du rire issu de nulle part, prêt à le défendre.
« JE SUIS BRYNMOR MORK, déclara la voix avec une emphase inutile. PRÉPARE-TOI, RHYSAERN, CAR JE VAIS DÉTRUIRE TON EMPIRE D’AMOUR ET DE PAIX ET TU NE POURRAS RIEN FAIRE POUR LE SAUVER !
— Ne vous inquiétez pas, Votre Majesté ! s’exclama Glalahalagad. Je vous protégerai ! »
Au même instant, Glendower avait invoqué son pouvoir pour mettre un terme à la présence surnaturelle de Brynmor Mork.
Ah, l’efficacité, se félicita Rhysaern.
Puis il se tourna vers Alpha, et de son air le plus terrifiant, exigea des explications.
¤¤¤
« Alors, comment il a réagi ? » demanda Beta d’un ton inquiet.
Alpha pinça les lèvres et se frotta les tempes.
« Comme un dictateur/tyran/despote maître du monde qui apprend qu’il a tellement réussi que son peuple l’adore. Il a envoyé la moitié de l’armée se faire massacrer et s’est enfermé dans son harem.
— Ah.
— … quoi, ah ? »
Bêta grimaça.
« La rumeur court que l’empire est en grand danger et que Rhysaern a envoyé l’armée protéger le peuple de la menace extérieure. »
Alpha et Bêta, en rare communion, échangèrent un regard significatif.
Ce n’était pas prêt de s’arranger.
(fin)
1307 mots
Quelque chose à savoir sur Rhysaern et Glendower
- Ce n'est pas que Rhysaern doute de la dévotion pure que Glendower lui voue, c'est juste qu'il n'aime pas qu'un/e autre que lui traine trop longtemps autour. Glendower ne devrait pas s'intéresser à quoique ce soit d'autre que Rhysaern.
- Glendower sait qu'un jour Rhysaern verra toute la force de son amour et le lui rendra. Il y croit. Depuis qu'il a cinq ans.
Genre : heu. >.>
Censure : K+
Date : Jeudi 8 mai 2008
Concept :
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Note : Écrit pour frudule à l’occasion d’ecrirepouraider… Il s’agit d’un univers sur lequel on a déliré, et j’ai essayé de faire en sorte qu’on le comprenne ^^; Pas sûre que ça rende grand-chose XD
Il s’était fondu dans la foule, caméléon partout où il se trouvait, et surtout dans les tavernes. Il n’existait pas de lieu, pas d’éléments dans lequel il n’aurait paru à son aise, mais le cœur de la ville se trouvait là : devant un verre d’alcool et entre deux joueurs de cartes. Large sourire aux lèvres, généreux de sa bourse et de sa conversation, il glanait informations et ouï-dire, séparait le faux du vrai, l’important de l’inutile et prenait en toute discrétion le pouls de la population.
Ces derniers temps, l’ambiance générale l’inquiétait. Trouvères et troubadours rajoutaient de troublants refrains à leurs couplets, racontaient de drôles d’histoires ; la rumeur populaire y apportait son approbation.
Lorsque, somme toute sans déclencheur particulier, un buveur leva son verre en criant : « Longue vie à l’Empereur ! » et que toute la taverne l’imita, même le saoulard effondré contre le mur, notre homme jugea qu’il était temps de réagir.
¤¤¤
La nuit était tombée depuis longtemps, mais Lord Alpha, l’un des membres du Triumvirat des conseillers de l’Empereur, était loin d’être couché. Certaines affaires ne pouvaient être réglées qu’à la lueur des bougies, pendant les heures tardives où le palais sommeillait presque entièrement.
Endormi ou pas, il n’appréciait pas d’être dérangé une fois retiré dans ses appartements. Aussi, lorsque la porte de sa chambre s’ouvrit sans même que l’on ait poliment frappé, s’apprêta-t-il à faire comprendre tout son déplaisir à l’importun, mais il n’eut pas le temps d’ouvrir la bouche.
« Waldar ! » s’exclama une voix bien connue.
L’irritation de Lord Alpha s’accrut, réponse automatique à son vis-à-vis.
« Beta, gronda-t-il, glacial. Je t’ai déjà dit de ne pas m’appeler comme cela. »
Le second membre de leur trio haussa négligemment les épaules.
« Détends-toi, répondit-il. Il faut que je te parle, c’est la panique. »
Beta lui résuma la situation en quelques mots, Alpha ferma les yeux un court instant.
« Nous savions que cela finirait par arriver, dit-il enfin. Cela ne pouvait continuer comme cela pendant encore longtemps.
— Ouais, enfin je pensais pas que ce serait aussi rapide. On fait quoi ? On peut pas laisser Rhysaern s’en rendre compte ou bien… »
Un silence pesant et significatif accueillit ces derniers mots. Alpha pinça les lèvres, résolu.
« Allons retrouver Psy, nous aurons besoin de lui pour déterminer les mesures à prendre. »
¤¤¤
Lord Psy était au fond de son lit, un bonnet sur la tête, une main sur les fesses d’une servante. Il grogna lorsque ses compagnons l’en tirèrent, enfila une robe de chambre sans la fermer, puis ils allèrent se réfugier dans le bureau du dernier membre du Triumvirat. Lord Psy leur sortit un excellent alcool de prune qu’il gardait pour ces occasions (peu nombreuses heureusement, il détestait se relever). Comme toujours, Alpha refusa, et, pressé, n’eut même pas le bon goût d’attendre qu’ils soient confortablement installé pour lui faire part de la situation. Psy sirota son alcool tranquillement et grogna lorsque Alpha déclara :
« Il va falloir redoubler de vigilance. Établir de nouvelles règles de protocole.
— Pourquoi ? Éviter que la rumeur vienne aux oreilles de Rhysaern ? Parce que tu crois que ça va marcher ?
— Tu contrôles tout l’espionnage, Beta. À toi de t’assurer que les bonnes mauvaises informations lui soit répétées. Psy ?
— Oh, vous savez, ce que j’ai à en dire, moi…
— Tu es le maître de la propagande. »
Psy haussa les épaules et se gratta le ventre.
« Boaf. Je peux essayer de diminuer un peu la fréquence des représentations théâtrales. On en est à la justification de sa descendance divine, j’ai flanqué un môme à la déesse Tressteykouet, on sait pas encore qui est le paternel, je vais laisser planer le doute… »
Alpha hocha la tête.
« Tenez-vous sur vos gardes. »
Les trois conspirateurs se séparèrent alors (non sans que Beta ait tenté de s’insinuer dans le lit d’Alpha, et que ce dernier l’ait éjecté par l’une de ses fenêtres), avec bon espoir de contenir la situation.
Mais les choses étaient bien plus avancées qu’ils ne le croyaient, et la lourde machine du destin se mettait déjà en marche.
¤¤¤
Rhysaern était Maître du Monde de naissance. Non qu’il soit né Maître du Monde, bien entendu, il y avait travaillé, il avait gagné son empire à la sueur du front de son entourage. Mais il avait su, très jeune, qu’il était destiné à régner sur le monde. À l’école, il avait bien pris note des échecs de ses prédécesseurs afin de ne pas refaire les mêmes (encore que si vous lui demandiez son avis, ceux-là n’avaient clairement pas la carrure nécessaire pour devenir Maître du Monde). Il avait pris ses dispositions, la toute première étant de s’approprier l’opposant qui lui était destiné. Après quelques recherches, il lui apparut évident qu’il ne pouvait s’agir que de son meilleurs ami et voisin, Glendower aux boucles blondes, au sourire bête, et à la sale manie de sauver tout ce qui passait. Il fut facile de l’aider à trouver son Épée de Lumière et ensuite le détourner du droit chemin. Glendower mourrait pour Rhysaern, et ce dernier trouvait cela très bien.
Le reste ne fut que logistique (renverser le pouvoir actuel, opprimer, reconstruire le palais à son image…). Aujourd’hui Rhysaern était un Maître du Monde comblé, un tyran craint de tous, dont les longs cheveux noirs reflétaient la noirceur d’âme.
Aussi, lorsqu’un bouclé blond au sourire bête se pointa une Épée de Lumière et s’agenouilla devant lui, eut-il un instant de stupéfaction (partagé par Glendower, ce brave compagnon).
« Votre Majesté, mon nom est Gahalahaglahad. Une sombre menace pèse sur votre royaume et je viens vous offrir l’aide de mon Épée de Lumière afin de le défendre ! »
Glendower se racla très fort la gorge et fit briller sa propre arme de destruction massive héroïque. Rhysaern regarda l’importun, parfaitement convaincu que celui-ci avait perdu la tête à un moment de sa Quête de la Lumière.
« Alpha. »
Ce dernier, un peu pâle ce matin, se rapprocha.
« Votre Majesté ?
— Fais-moi le plaisir de rappeler à ce jeune héros que je suis la sombre menace qui pèse sur mon royaume. Qui est un empire.
— Oui, Majesté. »
Avec un enthousiasme peu commun au plus froid des membres de son Triumvirat, Alpha s’apprêtait à ordonner qu’on exécute le héros en question, lorsqu’un rire démoniaque emplit la salle du trône.
Et ce n’était pas celui de Rhysaern.
« Brynmor Mork ! » s’exclama Glaglalalahad, ou quelque fut son nom, en brandissant son Épée de Lumière.
Glendower s’était mis devant Rhysaern dès les premières notes du rire issu de nulle part, prêt à le défendre.
« JE SUIS BRYNMOR MORK, déclara la voix avec une emphase inutile. PRÉPARE-TOI, RHYSAERN, CAR JE VAIS DÉTRUIRE TON EMPIRE D’AMOUR ET DE PAIX ET TU NE POURRAS RIEN FAIRE POUR LE SAUVER !
— Ne vous inquiétez pas, Votre Majesté ! s’exclama Glalahalagad. Je vous protégerai ! »
Au même instant, Glendower avait invoqué son pouvoir pour mettre un terme à la présence surnaturelle de Brynmor Mork.
Ah, l’efficacité, se félicita Rhysaern.
Puis il se tourna vers Alpha, et de son air le plus terrifiant, exigea des explications.
¤¤¤
« Alors, comment il a réagi ? » demanda Beta d’un ton inquiet.
Alpha pinça les lèvres et se frotta les tempes.
« Comme un dictateur/tyran/despote maître du monde qui apprend qu’il a tellement réussi que son peuple l’adore. Il a envoyé la moitié de l’armée se faire massacrer et s’est enfermé dans son harem.
— Ah.
— … quoi, ah ? »
Bêta grimaça.
« La rumeur court que l’empire est en grand danger et que Rhysaern a envoyé l’armée protéger le peuple de la menace extérieure. »
Alpha et Bêta, en rare communion, échangèrent un regard significatif.
Ce n’était pas prêt de s’arranger.
(fin)
1307 mots
Quelque chose à savoir sur Rhysaern et Glendower
- Ce n'est pas que Rhysaern doute de la dévotion pure que Glendower lui voue, c'est juste qu'il n'aime pas qu'un/e autre que lui traine trop longtemps autour. Glendower ne devrait pas s'intéresser à quoique ce soit d'autre que Rhysaern.
- Glendower sait qu'un jour Rhysaern verra toute la force de son amour et le lui rendra. Il y croit. Depuis qu'il a cinq ans.
no subject
Date: 2008-05-09 02:10 pm (UTC)Il est terrible, cet univers !
no subject
Date: 2008-05-11 07:55 pm (UTC)no subject
Date: 2008-05-09 02:53 pm (UTC)Vraiment. Très fort. Original, rafraîchissant, non dénué d'humour, jouant sur les clichés... On en veut encore :D
no subject
Date: 2008-05-11 07:55 pm (UTC)Je sais pas si j'aurai l'occasion de rejouer dedans, mais ça me déplairait pas en tout cas :D
♥
no subject
Date: 2008-05-09 07:22 pm (UTC)J4adore le coup du wanabee grand méchant qui se fait adorer par son peuple XD
no subject
Date: 2008-05-11 07:56 pm (UTC)no subject
Date: 2008-05-10 10:24 am (UTC)no subject
Date: 2008-05-11 07:57 pm (UTC)no subject
Date: 2008-05-19 09:06 am (UTC)j'avais pas vu que t'avais publié D:!!!
Bon, retard rattrapé, et dieu que j'ai rigolé! :DDDDDDDD
Psy c'est genre mon préféré à jamais <3
si j'étais un homme accompli, même que je serais psy! XD
j'ai pas pu m'empêcher de voir tamaki et kyouya pour beta et alpha ( mais ils vivent très bien d'eux-même hein!)
et puis Glendower! Et puis Gahalahaglahad! et le concours d'armùe héroique la plus brillante!!
et Rhysaern qui va bouder au harem :DDDD
Rhooo que je suis contente, c'est vraiment génial ( non, je ne me jette pas des fleurs, je le jure, c'est juste que tu as parfaitement tout rendu et que j'aime j'aime!)
Oui, j'en veux encore aussi ^^
Si t'es partante pour plus, on peut prévoir pour cet été d'en discuter plus/faire une suite en commun ou je ne sais quoi! :D
Merci mille fois donc *va relire*