Originale : Hallmark cards are true
Mar. 16th, 2012 11:42 am![[personal profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/user.png)
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Hallmark cards are true
Univers : Guillaume et Félicien (peut se lire tout seul)
Genre : fluff
Censure : M
Date : mars 2012
Note : pour le challenge Sex Is Not The Ennemy de
miya_tenaka, l’image était celle-ci
Titre tiré de Gunning Down Romance par Savage Garden.
« Qu’est-ce que tu fiches ? » bougonna Félicien en ouvrant les yeux.
Un nouveau clic, et la tête de Guillaume apparut derrière le vieux Canon qu’il avait récupéré la veille chez sa mère. Il avait enfilé un caleçon et un débardeur blanc et s’était assis en tailleur à côté de Félicien.
« Je te prends en photo, dit-il.
— Pourquoi ? » demanda Félicien en s’étirant longuement.
De légères courbatures et ses cuisses collantes lui rappelèrent la nuit précédente, le sexe dur de Guillaume allant et venant entre elles, le frottement doux contre les fesses de Félicien et les doigts fermes sur son membre dressé, les caresses emportées par le rythme de leurs hanches. Félicien se mordit les lèvres pour empêcher un sourire.
Clic.
« Parce que tu es beau, répondit Guillaume. Sur mes draps, mon oreiller, mon lit… »
Félicien leva les yeux au ciel.
« C’est bon, tu m’as pas non plus ramené à ta grotte par les cheveux.
— C’est comme si. »
Félicien replia le bras autour de sa taille et tira sur son débardeur. Sans se faire prier, Guillaume posa son appareil photo sur le matelas et se rallongea. Félicien glissa une main sur sa nuque et l’embrassa à pleine bouche. Guillaume émit un son surpris mais accueillit sa langue avec plaisir. Il se rapprocha encore, colla leurs bassin l’un contre l’autre. Félicien poussa un soupir contenté qui réveilla un peu plus le désir de Guillaume. Une main derrière lui, il chercha à l’aveugle son Canon, puis leva le bras et prit une série de photos.
Cette fois, le soupir de Félicien était clairement agacé.
Il interrompit le baiser, baissa la tête et marmonna contre le la gorge de Guillaume :
« T’as pas intérêt à les montrer à qui que ce soit. »
Guillaume lâcha à nouveau son appareil et passa un bras autour de Félicien, caressant les petits cheveux sur sa nuque. Pas un instant le va-et-vient de leurs bassins l’un contre l’autre ne s’était interrompu.
« Je détruirai la pellicule devant toi si tu veux, dit-il, les yeux fermés de plaisir. Mais j’aimerais voir ces photos. Tu es beau, Félicien. »
Félicien ne répondit rien, le souffle de plus en plus court. Impatient, il finit par glisser une main entre eux et repousser le caleçon de Guillaume, prit leurs deux sexes en main et accentua la caresse.
Ils jouirent presque en même temps.
« Fais ce que tu veux », murmura Félicien.
Guillaume sourit, lui mordilla le lobe de l’oreille et cacha le visage dans son cou. Venant de Félicien, c’était presque un contrat de mariage, un tatouage piqué sur sa peau.
Ils revenaient de loin, songea Guillaume, et ferma les yeux, le cœur tranquille.
(fin)
452 mots
Univers : Guillaume et Félicien (peut se lire tout seul)
Genre : fluff
Censure : M
Date : mars 2012
Note : pour le challenge Sex Is Not The Ennemy de
![[livejournal.com profile]](https://www.dreamwidth.org/img/external/lj-userinfo.gif)
Titre tiré de Gunning Down Romance par Savage Garden.
« Qu’est-ce que tu fiches ? » bougonna Félicien en ouvrant les yeux.
Un nouveau clic, et la tête de Guillaume apparut derrière le vieux Canon qu’il avait récupéré la veille chez sa mère. Il avait enfilé un caleçon et un débardeur blanc et s’était assis en tailleur à côté de Félicien.
« Je te prends en photo, dit-il.
— Pourquoi ? » demanda Félicien en s’étirant longuement.
De légères courbatures et ses cuisses collantes lui rappelèrent la nuit précédente, le sexe dur de Guillaume allant et venant entre elles, le frottement doux contre les fesses de Félicien et les doigts fermes sur son membre dressé, les caresses emportées par le rythme de leurs hanches. Félicien se mordit les lèvres pour empêcher un sourire.
Clic.
« Parce que tu es beau, répondit Guillaume. Sur mes draps, mon oreiller, mon lit… »
Félicien leva les yeux au ciel.
« C’est bon, tu m’as pas non plus ramené à ta grotte par les cheveux.
— C’est comme si. »
Félicien replia le bras autour de sa taille et tira sur son débardeur. Sans se faire prier, Guillaume posa son appareil photo sur le matelas et se rallongea. Félicien glissa une main sur sa nuque et l’embrassa à pleine bouche. Guillaume émit un son surpris mais accueillit sa langue avec plaisir. Il se rapprocha encore, colla leurs bassin l’un contre l’autre. Félicien poussa un soupir contenté qui réveilla un peu plus le désir de Guillaume. Une main derrière lui, il chercha à l’aveugle son Canon, puis leva le bras et prit une série de photos.
Cette fois, le soupir de Félicien était clairement agacé.
Il interrompit le baiser, baissa la tête et marmonna contre le la gorge de Guillaume :
« T’as pas intérêt à les montrer à qui que ce soit. »
Guillaume lâcha à nouveau son appareil et passa un bras autour de Félicien, caressant les petits cheveux sur sa nuque. Pas un instant le va-et-vient de leurs bassins l’un contre l’autre ne s’était interrompu.
« Je détruirai la pellicule devant toi si tu veux, dit-il, les yeux fermés de plaisir. Mais j’aimerais voir ces photos. Tu es beau, Félicien. »
Félicien ne répondit rien, le souffle de plus en plus court. Impatient, il finit par glisser une main entre eux et repousser le caleçon de Guillaume, prit leurs deux sexes en main et accentua la caresse.
Ils jouirent presque en même temps.
« Fais ce que tu veux », murmura Félicien.
Guillaume sourit, lui mordilla le lobe de l’oreille et cacha le visage dans son cou. Venant de Félicien, c’était presque un contrat de mariage, un tatouage piqué sur sa peau.
Ils revenaient de loin, songea Guillaume, et ferma les yeux, le cœur tranquille.
(fin)
452 mots
no subject
Date: 2012-03-16 10:55 am (UTC)no subject
Date: 2012-03-18 01:55 pm (UTC)no subject
Date: 2012-03-16 02:45 pm (UTC)no subject
Date: 2012-03-18 01:55 pm (UTC)no subject
Date: 2012-03-17 12:35 pm (UTC)*o*
no subject
Date: 2012-03-18 01:57 pm (UTC)no subject
Date: 2012-03-19 10:52 am (UTC)Meanne avait raison, tu avais du angst qui se profilait à l'horizon au final puisque "ils evenaient de loin" tumtumtum !
On va attendre que l'histoire germe encore plus alors ! ^^