DCU : Avant la barbe au menton (one-shot)
Feb. 13th, 2010 06:21 pm![[personal profile]](https://www.dreamwidth.org/img/silk/identity/user.png){kind=small}
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silmakenAvant la barbe au menton
Prompt : Tim, Kon, Damian et Chris - Les petits frères... de![[livejournal.com profile]](https://www.dreamwidth.org/img/external/lj-userinfo.gif)
brisby_pops
Personnages/Couples : Tim, Conner, Chris Kent, Damian, Dick, Bruce (Tim/Kon)
Genre : Famille, je vous haime
Censure : K+/PG
Disclaimer : Je ne prends au DCU que ce qui m’arrange :D
Date : 24 décembre 2009
post d’origine
« Bons bourgeois, du temps de nos pères,
S'avisaient tard d'être bons frères ;
Ils n'apprenaient cette leçon
Qu'ayant de la barbe au menton »
(La Fontaine)
Damian avait bien soigneusement prévu son coup parce qu’il attendit la fin du dessert pour aborder le sujet. En temps normal, les repas qu’ils partageaient tous ensemble étaient animés, par les confrontations de Tim et Damian ou les incitations de Dick à la conversation ; mais Bruce revenait tout juste d’une mission avec la JLA pour contrer une énième menace extra-terrestre et comme souvent, Jason avait profité de son absence pour traîner à Gotham. Dick, qui, à la profonde jalousie de Damian et à la consternation de Tim, ne désespérait pas de le voir revenir au nid, avait passé une bonne partie de la semaine en sa compagnie. Toutefois le retour de Bruce avait signé le départ de Jason alors Dick accusait le coup de son énième échec. Tim avait d’abord cru que le silence de Damian était une forme de respect envers l’humeur de leur aîné. De toute évidence la petite peste n’avait tout simplement pas voulu risquer d’être privé de gâteau au chocolat si les choses dégénéraient.
« Au fait, Drake, t’as passé une bonne journée hier ? » demanda-t-il d’un ton mielleux une fois la dernière bouchée avalée.
Tim se figea, cherchant à toute vitesse d’où viendrait l’attaque. Damian jeta un coup d’œil au bout de la table pour s’assurer qu’il avait l’attention de leur père. Bruce avait froncé les sourcils. Damian dégaina un sourire goguenard et soudain Tim sut ce qu’il allait dire ; il n’eut pas le temps de lui balancer son assiette à la figure, le petit monstre enchaîna tout de suite :
« Tes missions avec Kon El, tu les termines toutes à moitié à poils ou c’était exceptionnel ? »
Et Tim l’aurait assassiné, mais vraiment, c’était au-delà de l’envie de meurtre, c’était un besoin, sauf qu’un verre tapa violemment sur la table et la voix de Dick s’éleva, basse mais tendue :
« Damian, tu la boucles.
— Oh, ça va, j’ai bien le droit de rigo…
— Un mot de plus et je te promets que tu ne toucheras pas au masque de Robin pendant au moins six mois. »
Furieux et misérable, Tim eut la satisfaction de voir Damian pâlir. Ce dernier repoussa violemment sa chaise et prit Bruce à témoin :
« Il a pas le droit de faire ça ! Tu peux pas le laisser faire ça ! »
Bruce avait pincé les lèvres.
« Damian, tu obéis.
— Et Tim ? Tim, personne le punit ?! Alors que lui il a menti et il a négligé sa mission et…
— Mais n’importe quoi ! J’ai fini ma mission parfaitement et ma vie privée ne te concerne pas, espèce de sale petite punaise !
— Tim », coupa Dick et Tim se tut, sous le choc, croyant qu’il allait être réprimandé. Son aîné continua d’un ton égal : « Tim a prouvé qu’il savait se comporter en adulte et au-delà de ça, en personne digne de confiance. Quand ni Bruce, ni Tim, ni moi n’auront plus à corriger tes erreurs, tu auras le droit de faire des remarques. Pour le moment tu la fermes. »
Damian était livide. Il jeta un dernier regard à leur père, mais celui-ci aurait pu tout aussi bien porter le masque de Batman. Alors Damian donna un coup de pied à sa chaise qui s’écrasa par terre, puis il s’enfuit en courant après avoir hurlé : « JE TE DÉTESTE ! », sans qu’on sache tout à fait à qui il s’adressait, mais Tim savait que dans son état d’esprit actuel, Dick l’avait pris pour lui et l’envie de meurtre remonta dans sa gorge comme de la bile.
Alfred surgit d’on ne savait où, silencieux, dans l’intention évidente de remettre la chaise en place. Bruce l’arrêta.
« Laissez, Alfred. Damian le fera quand il sera calmé. »
Un bon coup de jet d’eau dans la figure, y’a que ça, songea Tim rageusement et c’est alors son regard croisa celui de Bruce. Son cœur rata un battement.
Il avait eu l’intention de lui dire, vraiment, ce n’était pas comme s’il l’aurait caché, que Bruce approuve ou non. Il n’avait simplement pas eu le temps. Mais Damian avait sous-entendu qu’il avait dissimulé volontairement sa relation avec Conner et même après qu’ils se seraient expliqués, il savait que Bruce aurait un mauvais a priori. Ce qui allait l’énerver. Ils allaient se disputer, immanquablement. Le prochain repas serait encore plus plombé et Dick encore plus déprimé.
Je vais le tuer.
*
« Mais vraiment, gronda Tim qui vibrait de colère dans ses bras. Ou payer Jason pour qu’il le fasse, j’en sais rien, mais je ne le supporte plus ! »
Conner garda prudemment le silence. Tim avait besoin d’évacuer et c’était une excellente chose qu’il le fasse, sinon après il se mettait des trucs bizarres en tête et commençait à cloner des gens, voire à envisager sérieusement d’assassiner le fils de son père (cette expression ne cesserait jamais de donner mal à la tête à Conner).
« Et puis il faut toujours qu’il remette en cause tout ce que Dick lui dit ! C’était déjà gonflant avant mais depuis que Bruce est de retour, c’est pire encore parce qu’il y a conflit d’autorité et il n’a pas encore intégré que Bruce prendra toujours le parti de Dick ! Et encore heureux parce que vu l’humeur dans laquelle Dick se trouve, je m’attends à ce qu’il décide de repartir à New York du jour au lendemain ! »
Il se tourna sur lui-même pour se mettre face à Conner. Ce dernier le laissa se réinstaller sur ses genoux et se retint fortement de l’embrasser.
Ou pas.
Tim répondit tout de suite au baiser, les mains dans ses cheveux, puis soupira sur ses lèvres.
« Je ne sais vraiment pas de quoi Jason se plaignait, marmonna-t-il. Je suis très bien, comme petit frère. »
Il regarda Conner d’un air circonspect.
« Tu as de la chance avec Chris.
— … qu’est-ce que t’entends par là ?
— J’adorerais avoir Chris, fit Tim au grand dam de Conner. Il est mignon, il est gentil…
— Hé là, hé là, doucement, protesta-t-il. Parle pas d’un autre mec que moi comme ça. Je savais même pas que tu le connaissais… »
Chris et Conner s’entendaient bien, sans se fréquenter plus que ça parce que Chris passait plus de temps dans la Zone Fantôme que sur Terre. Il leur arrivait souvent d’entraîner ensemble leur télékinésie, ce qui leur permettait de tester les limites de leurs pouvoirs. Conner n’irait pas dire qu’il le considérait comme un petit frère, d’autant qu’entre la croissance bordélique de Chris, l’absence totale de ladite croissance dans le cas Conner et son année « sabbatique », savoir lequel des deux était le plus jeune était un casse-tête chinois (ceci dit, Conner était là le premier !). Enfin, de manière générale il n’avait rien contre Chris. Jusqu’à maintenant.
« Il est passé à la Batcave quand il était encore petit. Et on s’est croisés il y a quelques temps.
— Et tu m’en as pas parlé ? »
Tim haussa les épaules.
« Je n’y ai pas pensé. »
Conner éprouva le besoin immédiat de plaquer Tim à son lit et de lui rouler une pelle à lui en faire oublier son identité civile.
Il y avait déjà Dick et l’autre mec en vert, si en plus il fallait qu’il se méfie de sa propre famille, maintenant…
¤
« J’ai cru comprendre que tu connaissais Robin », fit Conner d’un ton dégagé lorsque Chris fit un nouveau passage sur Terre. « Le grand, reprécisa-t-il, pas le petit.
— Oui ! s’exclama Chris avec fougue, soudain enthousiaste. J’adore Robin, il est vraiment super, enfin, tu vois ce que je dire.
— Parfaitement. Content que tu approuves. On sort ensemble. »
Chris s’arrêta net et le dévisagea, bouche bée.
« Tu… tu sors avec Robin ? Mais, je croyais, enfin, Wonder Girl…
— Fini depuis un moment.
— Oh. »
Chris garda un silence impossible à interpréter, aussi Conner n’hésita pas à enchaîner :
« Mais honnêtement, Robin et moi, ça couvait depuis longtemps. Depuis le début, même ; si j’avais su… enfin, l’important c’est que maintenant on soit ensemble et c’est parti pour durer, crois-moi. »
Il décocha un sourire lumineux à Chris.
« Oh, ben… félicitations, alors, dit ce dernier. C’est bien. Il est vraiment cool, Robin, tu as de la chance. »
Conner hocha la tête puis proposa qu’ils reprennent leurs exercices de télékinésie. Finalement, les petits frères, c’était facile à gérer, suffisait de savoir leur parler.
L’attaque le prit par surprise : un instant il volait, le second il était projeté vers le sol par une force extérieure. Il freina et se retourna de justesse, croisant le regard de Chris.
« Début de l’entraînement ? » fit celui-ci d’un ton innocent.
Oh le sale petit…
Conner retroussa mentalement les manches et passa à l’attaque.
(fin)
1474 mots
Prompt : Tim, Kon, Damian et Chris - Les petits frères... de
brisby_pops Personnages/Couples : Tim, Conner, Chris Kent, Damian, Dick, Bruce (Tim/Kon)
Genre : Famille, je vous haime
Censure : K+/PG
Disclaimer : Je ne prends au DCU que ce qui m’arrange :D
Date : 24 décembre 2009
post d’origine
« Bons bourgeois, du temps de nos pères,
S'avisaient tard d'être bons frères ;
Ils n'apprenaient cette leçon
Qu'ayant de la barbe au menton »
(La Fontaine)
Damian avait bien soigneusement prévu son coup parce qu’il attendit la fin du dessert pour aborder le sujet. En temps normal, les repas qu’ils partageaient tous ensemble étaient animés, par les confrontations de Tim et Damian ou les incitations de Dick à la conversation ; mais Bruce revenait tout juste d’une mission avec la JLA pour contrer une énième menace extra-terrestre et comme souvent, Jason avait profité de son absence pour traîner à Gotham. Dick, qui, à la profonde jalousie de Damian et à la consternation de Tim, ne désespérait pas de le voir revenir au nid, avait passé une bonne partie de la semaine en sa compagnie. Toutefois le retour de Bruce avait signé le départ de Jason alors Dick accusait le coup de son énième échec. Tim avait d’abord cru que le silence de Damian était une forme de respect envers l’humeur de leur aîné. De toute évidence la petite peste n’avait tout simplement pas voulu risquer d’être privé de gâteau au chocolat si les choses dégénéraient.
« Au fait, Drake, t’as passé une bonne journée hier ? » demanda-t-il d’un ton mielleux une fois la dernière bouchée avalée.
Tim se figea, cherchant à toute vitesse d’où viendrait l’attaque. Damian jeta un coup d’œil au bout de la table pour s’assurer qu’il avait l’attention de leur père. Bruce avait froncé les sourcils. Damian dégaina un sourire goguenard et soudain Tim sut ce qu’il allait dire ; il n’eut pas le temps de lui balancer son assiette à la figure, le petit monstre enchaîna tout de suite :
« Tes missions avec Kon El, tu les termines toutes à moitié à poils ou c’était exceptionnel ? »
Et Tim l’aurait assassiné, mais vraiment, c’était au-delà de l’envie de meurtre, c’était un besoin, sauf qu’un verre tapa violemment sur la table et la voix de Dick s’éleva, basse mais tendue :
« Damian, tu la boucles.
— Oh, ça va, j’ai bien le droit de rigo…
— Un mot de plus et je te promets que tu ne toucheras pas au masque de Robin pendant au moins six mois. »
Furieux et misérable, Tim eut la satisfaction de voir Damian pâlir. Ce dernier repoussa violemment sa chaise et prit Bruce à témoin :
« Il a pas le droit de faire ça ! Tu peux pas le laisser faire ça ! »
Bruce avait pincé les lèvres.
« Damian, tu obéis.
— Et Tim ? Tim, personne le punit ?! Alors que lui il a menti et il a négligé sa mission et…
— Mais n’importe quoi ! J’ai fini ma mission parfaitement et ma vie privée ne te concerne pas, espèce de sale petite punaise !
— Tim », coupa Dick et Tim se tut, sous le choc, croyant qu’il allait être réprimandé. Son aîné continua d’un ton égal : « Tim a prouvé qu’il savait se comporter en adulte et au-delà de ça, en personne digne de confiance. Quand ni Bruce, ni Tim, ni moi n’auront plus à corriger tes erreurs, tu auras le droit de faire des remarques. Pour le moment tu la fermes. »
Damian était livide. Il jeta un dernier regard à leur père, mais celui-ci aurait pu tout aussi bien porter le masque de Batman. Alors Damian donna un coup de pied à sa chaise qui s’écrasa par terre, puis il s’enfuit en courant après avoir hurlé : « JE TE DÉTESTE ! », sans qu’on sache tout à fait à qui il s’adressait, mais Tim savait que dans son état d’esprit actuel, Dick l’avait pris pour lui et l’envie de meurtre remonta dans sa gorge comme de la bile.
Alfred surgit d’on ne savait où, silencieux, dans l’intention évidente de remettre la chaise en place. Bruce l’arrêta.
« Laissez, Alfred. Damian le fera quand il sera calmé. »
Un bon coup de jet d’eau dans la figure, y’a que ça, songea Tim rageusement et c’est alors son regard croisa celui de Bruce. Son cœur rata un battement.
Il avait eu l’intention de lui dire, vraiment, ce n’était pas comme s’il l’aurait caché, que Bruce approuve ou non. Il n’avait simplement pas eu le temps. Mais Damian avait sous-entendu qu’il avait dissimulé volontairement sa relation avec Conner et même après qu’ils se seraient expliqués, il savait que Bruce aurait un mauvais a priori. Ce qui allait l’énerver. Ils allaient se disputer, immanquablement. Le prochain repas serait encore plus plombé et Dick encore plus déprimé.
Je vais le tuer.
*
« Mais vraiment, gronda Tim qui vibrait de colère dans ses bras. Ou payer Jason pour qu’il le fasse, j’en sais rien, mais je ne le supporte plus ! »
Conner garda prudemment le silence. Tim avait besoin d’évacuer et c’était une excellente chose qu’il le fasse, sinon après il se mettait des trucs bizarres en tête et commençait à cloner des gens, voire à envisager sérieusement d’assassiner le fils de son père (cette expression ne cesserait jamais de donner mal à la tête à Conner).
« Et puis il faut toujours qu’il remette en cause tout ce que Dick lui dit ! C’était déjà gonflant avant mais depuis que Bruce est de retour, c’est pire encore parce qu’il y a conflit d’autorité et il n’a pas encore intégré que Bruce prendra toujours le parti de Dick ! Et encore heureux parce que vu l’humeur dans laquelle Dick se trouve, je m’attends à ce qu’il décide de repartir à New York du jour au lendemain ! »
Il se tourna sur lui-même pour se mettre face à Conner. Ce dernier le laissa se réinstaller sur ses genoux et se retint fortement de l’embrasser.
Ou pas.
Tim répondit tout de suite au baiser, les mains dans ses cheveux, puis soupira sur ses lèvres.
« Je ne sais vraiment pas de quoi Jason se plaignait, marmonna-t-il. Je suis très bien, comme petit frère. »
Il regarda Conner d’un air circonspect.
« Tu as de la chance avec Chris.
— … qu’est-ce que t’entends par là ?
— J’adorerais avoir Chris, fit Tim au grand dam de Conner. Il est mignon, il est gentil…
— Hé là, hé là, doucement, protesta-t-il. Parle pas d’un autre mec que moi comme ça. Je savais même pas que tu le connaissais… »
Chris et Conner s’entendaient bien, sans se fréquenter plus que ça parce que Chris passait plus de temps dans la Zone Fantôme que sur Terre. Il leur arrivait souvent d’entraîner ensemble leur télékinésie, ce qui leur permettait de tester les limites de leurs pouvoirs. Conner n’irait pas dire qu’il le considérait comme un petit frère, d’autant qu’entre la croissance bordélique de Chris, l’absence totale de ladite croissance dans le cas Conner et son année « sabbatique », savoir lequel des deux était le plus jeune était un casse-tête chinois (ceci dit, Conner était là le premier !). Enfin, de manière générale il n’avait rien contre Chris. Jusqu’à maintenant.
« Il est passé à la Batcave quand il était encore petit. Et on s’est croisés il y a quelques temps.
— Et tu m’en as pas parlé ? »
Tim haussa les épaules.
« Je n’y ai pas pensé. »
Conner éprouva le besoin immédiat de plaquer Tim à son lit et de lui rouler une pelle à lui en faire oublier son identité civile.
Il y avait déjà Dick et l’autre mec en vert, si en plus il fallait qu’il se méfie de sa propre famille, maintenant…
¤
« J’ai cru comprendre que tu connaissais Robin », fit Conner d’un ton dégagé lorsque Chris fit un nouveau passage sur Terre. « Le grand, reprécisa-t-il, pas le petit.
— Oui ! s’exclama Chris avec fougue, soudain enthousiaste. J’adore Robin, il est vraiment super, enfin, tu vois ce que je dire.
— Parfaitement. Content que tu approuves. On sort ensemble. »
Chris s’arrêta net et le dévisagea, bouche bée.
« Tu… tu sors avec Robin ? Mais, je croyais, enfin, Wonder Girl…
— Fini depuis un moment.
— Oh. »
Chris garda un silence impossible à interpréter, aussi Conner n’hésita pas à enchaîner :
« Mais honnêtement, Robin et moi, ça couvait depuis longtemps. Depuis le début, même ; si j’avais su… enfin, l’important c’est que maintenant on soit ensemble et c’est parti pour durer, crois-moi. »
Il décocha un sourire lumineux à Chris.
« Oh, ben… félicitations, alors, dit ce dernier. C’est bien. Il est vraiment cool, Robin, tu as de la chance. »
Conner hocha la tête puis proposa qu’ils reprennent leurs exercices de télékinésie. Finalement, les petits frères, c’était facile à gérer, suffisait de savoir leur parler.
L’attaque le prit par surprise : un instant il volait, le second il était projeté vers le sol par une force extérieure. Il freina et se retourna de justesse, croisant le regard de Chris.
« Début de l’entraînement ? » fit celui-ci d’un ton innocent.
Oh le sale petit…
Conner retroussa mentalement les manches et passa à l’attaque.
(fin)
1474 mots
