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Si ton cœur n’est plus mien
Couple : …. :D
Genre : Flangst (fluff+angst) :D
Censure : G
Date : vendredi 20 avril 2007
Spoilers : Aucun de compréhensible, mais cela n’aurait aucun sens si vous n’avez pas vu Cyberwoman.
Disclaimer : Torchwood n’est pas mon bac à sable, je ne fais qu’y jouer…
Elle sent qu’il est fâché contre elle. Elle ne sait pas ce qu’elle a fait, elle ne comprend pas, mais il ne la regarde plus, il ne passe plus de temps avec elle, jamais, même en cachette du reste de la harde. Elle se sent seule. Il y en avait une autre avant lui, une autre qui la nourrissait, mais elle est partie, elle l’a abandonnée. Il a pris sa place, il s’occupait si bien d’elle, mieux que la première, oui, car il passait du temps avec elle, lui, il la grattait, lui parlait. Elle ne comprend pas ce qu’il dit, pourtant elle entend dans sa voix qu’ils sont de la même famille.
Mais il ne lui parle plus, il ne la gratte plus. Il lui apporte à manger et s’en va.
Là, sa voix qui l’appelle, elle reconnaît le cri qui veut dire « elle ». Elle ne bouge pas. Il va laisser la nourriture et s’en aller, elle sera seule, encore.
Elle ferme les yeux. Il continue de l’appeler.
Puis elle l’entend monter, elle sent son odeur, cette curieuse odeur qui ressemblait à celle de la source d’eau noire et amère (celui qui grogne a essayé de lui en faire boire, une fois, elle a dérangé tout son territoire pour la peine).
[Tu boudes, Myfanwy ?]
Elle ne bouge pas. Un soupir, ses doigts sur son crâne, il gratte.
[Je ne m’occupe pas beaucoup de toi ces derniers temps. Pardon.]
Il lui parle.
[ Pardonne-moi, je suis bête. Ce n’était pas ta faute. Ce n’était pas ta faute.]
Elle sent la douleur, la perte, elle comprend cela, ce que c’est de se retrouver sans les siens. Il n’est plus en colère, plus contre elle. Il continue de lui murmurer des choses qu’elle ne saisit pas.
Mais il la gratte, il lui parle.
Elle n’est plus seule.
(fin)
« Heb gael dy galon gyda hi », (Si ton cœur n’est plus mien), extrait de Myfanwy par Joseph Parry, chanson galloise datant de 1875.
À savoir : le ptérodactyle est un animal qui aime vivre en groupe.
Ianto/Myfanwy OTP !
Couple : …. :D
Genre : Flangst (fluff+angst) :D
Censure : G
Date : vendredi 20 avril 2007
Spoilers : Aucun de compréhensible, mais cela n’aurait aucun sens si vous n’avez pas vu Cyberwoman.
Disclaimer : Torchwood n’est pas mon bac à sable, je ne fais qu’y jouer…
Elle sent qu’il est fâché contre elle. Elle ne sait pas ce qu’elle a fait, elle ne comprend pas, mais il ne la regarde plus, il ne passe plus de temps avec elle, jamais, même en cachette du reste de la harde. Elle se sent seule. Il y en avait une autre avant lui, une autre qui la nourrissait, mais elle est partie, elle l’a abandonnée. Il a pris sa place, il s’occupait si bien d’elle, mieux que la première, oui, car il passait du temps avec elle, lui, il la grattait, lui parlait. Elle ne comprend pas ce qu’il dit, pourtant elle entend dans sa voix qu’ils sont de la même famille.
Mais il ne lui parle plus, il ne la gratte plus. Il lui apporte à manger et s’en va.
Là, sa voix qui l’appelle, elle reconnaît le cri qui veut dire « elle ». Elle ne bouge pas. Il va laisser la nourriture et s’en aller, elle sera seule, encore.
Elle ferme les yeux. Il continue de l’appeler.
Puis elle l’entend monter, elle sent son odeur, cette curieuse odeur qui ressemblait à celle de la source d’eau noire et amère (celui qui grogne a essayé de lui en faire boire, une fois, elle a dérangé tout son territoire pour la peine).
[Tu boudes, Myfanwy ?]
Elle ne bouge pas. Un soupir, ses doigts sur son crâne, il gratte.
[Je ne m’occupe pas beaucoup de toi ces derniers temps. Pardon.]
Il lui parle.
[ Pardonne-moi, je suis bête. Ce n’était pas ta faute. Ce n’était pas ta faute.]
Elle sent la douleur, la perte, elle comprend cela, ce que c’est de se retrouver sans les siens. Il n’est plus en colère, plus contre elle. Il continue de lui murmurer des choses qu’elle ne saisit pas.
Mais il la gratte, il lui parle.
Elle n’est plus seule.
(fin)
« Heb gael dy galon gyda hi », (Si ton cœur n’est plus mien), extrait de Myfanwy par Joseph Parry, chanson galloise datant de 1875.
À savoir : le ptérodactyle est un animal qui aime vivre en groupe.
Ianto/Myfanwy OTP !